1. Fidélité et abandon, voilà notre devise. Pratiquez-la bien et vous aurez trouvé la voix de la paix et du bonheur.
2. Quant à la confiance en la divine Providence, elle n’est point séparée, pour nous, de la confiance en la très sainte Mère de Dieu, puisque c’est toujours par elle que cette Providence adorable a signalé ses bienfaits sur nous.
3. Plus il y aura de notre part d’abandon et de confiance, plus cette tendre Mère aimera à nous prodiguer les soins les plus minutieux.
4. Quant à l’avenir, abandonnons-le à la bonté divine ; faisons bien d’abord autant que possible ; proposons-nous de bien faire ensuite et prions…
5. Abandonnez-vous simplement à la toute sainte et adorable volonté de Dieu… Ne craignez rien, soyez fidèles seulement et tout, à la fin, tournera à la gloire de Dieu, à l’honneur de notre si bonne Mère et à notre sanctification.
6. Si nous nous appuyons sur nous-mêmes, sur nos forces, nos industries et nos combinaisons, nous aurions peut-être sujet de craindre ; mais n’ayant et ne voulant d’autre appui que la divine Providence et les tendres soins de notre bonne Mère, soyons parfaitement tranquilles.
7. Dans la fondation de l’œuvre, nous n’avons jamais compté sur rien d’humain, mais sur la divine Providence et sur les bons soins de notre bonne Mère. Cela a été, c’est et, je l’espère, ce sera toujours là notre unique appui.
8. Si vous étiez plus abandonnée à la très Sainte Vierge vous seriez moins agitée. Pour ce qui regarde l’avenir des sœurs, vous n’avez pas à vous en préoccuper.
9. Vous savez bien ce que votre divin Maître eut à souffrir… Abandonnez-vous donc à Lui ; et tout en faisant ce qui dépend de vous pour le bien, levez les yeux au ciel et attendez votre réconfort de Dieu seul.
10. Que vous ayez des consolations ou que vous n’en ayez pas, abandonnez-vous au cœur de la divine Mère…
11. Oh ! Ma bonne Mère, comme les moindres choses ont, sous votre direction maternelle, une portée providentielle !
12. Compte sur la divine Providence ; fonde Notre Dame du Refuge et que le fond de l’œuvre, l’esprit, la vie et l’œuvre soient la charité, et toujours la charité.
13. Elevez-vous vers le Seigneur avec une tendre et filiale confiance, mettez tout entre ses mains, abandonnez-vous sans réserve à sa divine Providence.
14. Sans égard à l’argent, nous avons envisagé uniquement ce qui nous a paru être la sainte volonté de Dieu ; pour le reste, nous nous sommes toujours confiés à sa divine et toute bonne Providence.
15. Vous êtes entre les mains de la Providence… C’est là votre trésor, votre richesse.
16. Il nous reste des charges énormes ; mais nous nous confions à la divine et paternelle Providence, et nous disons au Seigneur dans la simplicité de nos cœurs : "Seigneur, j’ai mis en vous ma confiance, je ne serai pas confondu".
17. Oh ! ma Mère ! Qu’il est bon de s’abandonner à votre maternelle tendresse et de ne compter que sur vous !
18. Votre cœur maternel dirigeait cette Providence admirable dans ses bontés sur nous.
19. Le passé à la pénitence, le présent à la vigilance, l’avenir à la divine Providence.
20. De la confiance plus que jamais dans notre bonne Mère. Elle disposera toute chose selon la sainte volonté de Dieu. Abandonnons-nous de plus en plus à son cœur si maternel.
21. Combien de fois n’avons-nous pas cru tout perdu et presque sans espérance ! C’est dans ces moments pénibles que nous avons eu plus que jamais à remercier et à bénir les soins providentiels de notre bonne Mère et Maîtresse.
22. La Très Sainte Vierge saura pourvoir à tout, abandonnez-vous à ses soins maternels. Vous seriez bien à plaindre si vous comptiez sur vous. Non, non ne comptez que sur notre très Sainte Mère.
23. Cette croix serait moins lourde si le salut des âmes n’y était pas intéressé… Que faire ? La Mère admirable le sait ; je ne puis que lui abandonner tous nos intérêts.
24. Selon l’esprit de notre divine Mère, nous ne refusons jamais la charité et ne comptons pour les besoins de sa nombreuse famille que sur son cœur maternel qui ne nous a jamais abandonnés.
25. Le temps de la maladie est véritablement un temps de grâces. On peut admirablement y pratiquer toutes sortes de vertus et, par-dessus tout, l’entier abandon à Dieu et à toute sa volonté.
26. L’abandon que nous devons avoir dans les soins de notre bonne Maîtresse, ne nous empêche pas de faire les observations qui paraissent justes et conformes à l’intérêt de l’ordre et de tous.
27. Cette tendre Mère est, pour nous, la personnification de la divine Providence.
28. Abandonnez-vous sans réserve à tous les sacrifices que la sainte et adorable volonté de Dieu pourra exiger de vous.
29. Nous devons toujours adorer, aimer la très sainte volonté de Dieu et nous abandonner sans crainte aux soins de notre bonne et saint Mère.
30. Qu‘il est bon de n’avoir d’autre volonté que la seule volonté de Dieu ! Abandonnez-vous donc entièrement à la conduite de notre bonne et sainte 1. Maîtresse.
31. Ne vous laissez pas troubler ; conservez le calme, une douce confiance et un entier abandon à Notre Seigneur et à sa très Sainte Mère.